Mouvement des Focolari

Loppiano – Volume Zéro, 1 mai 2012

Avr 30, 2012

L’année du Genfest commence : 1er mai 2012 – 1er mai 2013. À partir de la rencontre de Loppiano (Florence), en vidéoconférence avec le monde entier, s’ouvre le chantier de la manifestation mondiale des jeunes des Focolari. Suivez la rencontre sur Internet.

Lien pour le direct

Foto – Flickr

À une époque marquée par des crises globalisées de tous genres qui font trembler économies, styles de vie et certitudes acquises concernant le présent et le futur, les Jeunes pour un Monde Uni des Focolari (JPMU) réunissent ceux qui désirent être les protagonistes d’un vrai changement et construire des ponts de fraternité dans nos sociétés.

Et ils se donnent un an pour travailler, entrecoupé d’étapes dont le moment central sera le genfest de Budapest, du 31 août au 2 septembre 2012. La manifestation mondiale accueillera des jeunes de plus de 150 pays, tous mus par la même idée, qui est aussi une expérience de vie et une action sociale : la fraternité universelle.

La 42e édition de la Rencontre de Loppiano sera une étape fondamentale. « Cette année, le 1er mai veut s’orienter vers le Genfest » – déclare Jacopo Casprini, du secrétariat Jeunes pour un Monde Uni et de la commission de travail à Loppiano – « et le moment central de la journée sera justement la vidéoconférence mondiale, durant laquelle sera officiellement ouverte l’année du Genfest. » Durant la Rencontre s’ouvrira également la Semaine Monde Uni, rendez-vous annuel des JPMU. La vidéoconférence mondiale en streaming live à 12h (GMT +1) permettra à des milliers de jeunes, de la Syrie au Japon, à Nairobi et Sidney, d’échanger des témoignages et des projets avec les 2000 jeunes présents à Loppiano, en vue du rendez-vous à Budapest. La vidéoconférence avec les jeunes de la Syrie est très attendue, ainsi que l’annonce du Projet Monde Uni : réseau mondial de jeunes pour donner vie à un Observatoire permanent qui « mesure », en degrés, le développement d’expériences de fraternité, en demandant aux Institutions internationales un engagement précis dans cette direction.

« Que dirais-je aux jeunes qui viendront à Loppiano et à ceux qui suivront l’événement à travers les réseaux sociaux du Genfest ? – continue Jacopo – « Que la préparation voit participer tous les jeunes présents dans la cité-pilote et dans les environs, le climat que l’on respire est un climat de joie, sérénité et volonté de rendre cette journée un moment de témoignage véritable. À tous les jeunes, je dirais seulement une chose : il vaut vraiment la peine de vivre pour un monde uni ! »

Et Rafael, jeune brésilien qui fait partie de l’organisation du Genfest, explique encore : « Dans le monde, un témoignage de paix, d’unité et de fraternité universelle est nécessaire : nous ne pouvons pas nous dérober. Le slogan du Genfest est “Let’s bridge” et représente pleinement notre engagement de construire des ponts entre hommes, entre cultures, entre peuples, dans les réalités les plus diverses ».

Le programme du 1er mai se poursuivra l’après-midi avec des ateliers thématiques conduits par des experts et des professionnels : choix de vie, famille aujourd’hui, ville et cohabitation multiculturelle, engagement politique et citoyenneté seront les thèmes traités. À relever les deux ateliers artistiques de musique et de danse avec le Groupe international Gen Rosso.

Pour en savoir plus et pour suivre la retransmission mondiale en direct (active dès 11h GMT+1) :

www.genfest.org (en cliquant sur ‘LIVE’ dans la barre du menu principal)

www.loppiano.it

live.dev.focolare.org

LIVE STREAMING EVENT

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

S'abonner à la lettre d'information

Mot du jour

Articles connexes

Le temps de la Création

Le temps de la Création

Cette année encore arrive le Temps de la Création, la célébration chrétienne annuelle pour prier et répondre ensemble au cri de la Création.

Chiara Lubich : au-delà de la nature

Chiara Lubich : au-delà de la nature

Le 7 février 1971, Chiara Lubich écrit cette pensée dans son journal où elle parle de l’expérience profonde de la proximité avec les frères et sœurs qui souffrent.