Mai 16, 2016 | Focolare Worldwide
Le projet MilONGa = Mille ONG en action, propose aux jeunes de plus de 18 ans l’occasion de s’unir, comme protagonistes, sur les chantiers de développement social des périphéries du monde. L’initiative est promue par le Mouvement des Focolari en dialogue avec d’autres organisations humanitaires sur le territoire, dans le respect des diversités, en proposant une culture de l’inclusion et de la fraternité. Pour ce faire, les Focolari mettent à disposition leurs propres structures présentes sur les cinq continents et leur expérience dans le domaine des relations internationales, en offrant aux jeunes l’occasion de devenir des acteurs de la paix et du dialogue, dans une démarche constante pour bâtir des ponts entre individus, peuples et cultures. Un autre objectif est celui de développer chez les jeunes des compétences transversales susceptibles de les rendre actifs au sein de leur propre groupe et en mesure d’influencer les processus de décision et les styles de vie dans leurs contextes sociaux respectifs. Il s’agit d’une forme de « volontariat interculturel » qui, en cherchant à capitaliser le patrimoine acquis grâce à la mise en œuvre de nombreux projets sociaux dans le monde, permet aux nouvelles générations de s’entraîner, comme protagonistes, dans les processus de changement. Une occasion pour apprendre à se mesurer – dans le style de la réciprocité – avec la diversité des contextes culturels ; mettre en marche l’exercice d’une citoyenneté active ; développer ses propres compétences en matière de relations et de leadership. Tout cela dans un échange constant avec les autres acteurs du projet, dans un parcours de croissance non plus individuel et isolé, mais communautaire.
La première phase prévoit des destinations vers les pays d’Amérique Latine et des Caraïbes, pour s’étendre ensuite aussi vers d’autres aires où sont présentes des activités de développement socialement inclusif adaptées à l’accueil. Les jeunes pourront faire des stages de un à six mois, accompagnés par des bénévoles et des « tuteurs » du lieu. Sur le portail United World Project il est possible de visualiser les localités où se déroulera ce volontariat et de de télécharger la fiche d’inscription. Ensuite les coordinateurs régionaux prendront contact avec les inscrits pour un entretien et pour étudier avec eux une proposition personnalisée qui prévoit aussi une formation préliminaire (conduite en collaboration avec l’AMU, l’ONG des Focolari) ; des activités informelles de teambuilding et de networking, et la présentation des associations et des groupes qui les accueilleront sur place. Cette étape une fois franchie, après une brève période de training portant sur le contexte local, les jeunes débuteront la période de volontariat convenue, durant laquelle sont aussi prévues des visites culturelles, la participation à des événements internationaux et des activités de loisirs. Pour l’Europe l’organisme qui gère les candidatures et l’envoi des volontaires est New Humanity, pour l’aire Hispano-américaine c’est Sumá Fraternidad, et pour le Brésil Sociedade Movimento dos Focolari. Gustavo Clariá
Mai 14, 2016 | Focolare Worldwide

© Verônica Farias – CSC Audiovisual
C’est un peuple en fête qui les attend, représenté par la communauté des Focolari au Kenya et par quelques personnes en provenance de diverses nations : « Je pars avec une grande joie, je sens qu’à travers le Kenya je rencontrerai les autres régions de l’Afrique », a déclaré Maria Voce avant de partir de Rome. C’est sa seconde visite sur le continent, après celle de Fontem (Cameroun) en 2009, pour la célébration solennelle du Cry Die en mémoire de Chiara Lubich. Le calendrier des événements laisse entrevoir les grandes lignes de ce voyage très attendu : inculturation, famille, œcuménisme. Nombreuses sont les rencontres prévues avec les autorités, ainsi que les moments ouverts à tous, sans oublier ceux réservés aux différentes communautés du Mouvement. Le premier rendez-vous à l’agenda est l’Ecole pour l’Inculturation, du 17 au 20 mai. 257 participants en provenance de l’Afrique subsaharienne. Venus de l’Est, de l’Ouest, du Centre, du Nord et du Sud, ils accueilleront Maria Voce et Jesús Morán, qui seront présents au cours des travaux et interviendront lors des sessions d’ouverture et de clôture de l’école. Jesús Morán est aussi chargé d’approfondir la question à la lumière de l’exhortation apostolique Amoris Laetitiae Le 7 mai 1992, au cours de son voyage à Nairobi pour rencontrer les Focolari du continent africain, Chiara Lubich notait dans son journal : « L’inculturation, la grande voie pour l’évangélisation ! ». Cinq jours plus tard, le 19 mai, c’était l’inauguration de la cité pilote Mariapolis Piero (Nairobi) et Chiara fondait le même jour l’Ecole pour l’Inculturation : une intuition qui s’est révélée prophétique. La 11ème école, intitulée « Famille et Inculturation en Afrique », mobilisera pendant quatre jours les différentes commissions des pays subsahariens, composées d’universitaires, de chercheurs et d’experts du monde de la famille. Le 25 mai, grande attente à la Faculté de Droit de la CUEA (Université Catholique de l’Est Africain) où Maria Voce – avocate, parmi les premières à avoir lancé le réseau social Economie et Droit – a été invitée à donner un cours sur le « Rôle du Droit dans le monde contemporain ». La Faculté a trois départements : droit public, droit privé, droit international, et elle offre un cours de quatre ans en vue de l’obtention du diplôme Bachelor of Laws (LL.B), qui vise à former des spécialistes du Droit Kenyan, avec une perspective régionale. La conférence de Maria Voce est principalement destinée aux étudiants et aux enseignants de la Faculté de Droit, mais elle est aussi ouverte à d’autres Facultés et à des personnes qui ne sont pas de la CUEA. Le 27 mai, rendez-vous au congrès de l’International Ecumenical Movement of Kenya (IEM-K), Mouvement Œcuménique International du Kenya. Né au début des années 90, l’IEM-K a toujours aspiré à « évangéliser la ville de Nairobi en vivant une foi qui ne craint pas d’affronter sur le plan pratique et dans une perspective biblique, les questions sociales, politiques, économiques et juridiques qui concernent les communautés où nous vivons ».Le but général de l’IEM-K est d’offrir une plateforme pour une communion chrétienne interconfessionnelle. Maria Voce a été invitée à partager, dans le cadre de ce rassemblement, l’expérience des Focolari dans le domaine œcuménique. Enfin, les 28 et 29 mai auront lieu la rencontre avec la communauté du Mouvement des Focolari au Kenya, avec une délégation du Burundi, du Rwanda, de l’Ouganda, de la Tanzanie, ainsi que l’inauguration de l’église « Marie de la Lumière ».
Mai 13, 2016 | Focolare Worldwide
Le thème de la participation politique aux Philippines, surtout chez les jeunes, a toujours été un élément clé: durant des années, le Mouvement des Focolari, saisissant la nécessité de former les personnes à une participation civique démocratique pour une reconstruction équitable du pays, a promu des activités encourageant l’engagement civil. Quelques jours après la campagne électorale, un rendez-vous, animé par des jeunes et des adolescents des Focolari, a lieu du 12 au 14 mai dans le cadre de Run4Unity, avec l’objectif déclaré de renforcer les liens sociaux. Il s’intitule “DULA NAPUD TA Bai” (abrégé “DULA TA Bai”), qui signifie “Jouons, ami” en dialecte local. “L’événement – écrit Joops Miranda, un des jeunes organisateurs – a pour but de créer une conscience que chacun peut être un catalyseur du monde uni. Il veut renforcer les relations interpersonnelles, comme aider à en construire de nouvelles. Il vise à encourager le dialogue entre jeunes de différentes communautés sur les sujets d’actualité dans un environnement où on peut aussi s’amuser! Nous espérons atteindre ce but grâce à de nombreuses activités sportives et récréatives. Cela souligne notre but ultime, qui est d’unir les personnes de différentes origines ethniques, nationalités, fois religieuses pour… devenir une famille.”
Et d’où vient l’idée de DULA TA Bai? Joops l’explique. En été 2014, avec d’autres amis, ils se demandent comment ne pas “perdre” un autre été devant l’ordinateur, sur la console de jeux vidéo, sur la tablette. L’étincelle naît ainsi, en discutant: pourquoi ne pas passer une journée entière (qui ensuite est passée à trois) avec différents types d’activité physique? Tout ce qui peut être fait ensemble, en plein air, en invitant toutes les communautés voisines? Deux mois plus tard, ils sont 200, de différentes parties des Philippines.
Basket, volley, athlétisme, football, frisbee et la populaire “Amazing race” (une course) sont les ingrédients sportifs qui composeront DULA TA Bai, pour finir par une soirée intitulée “U-Nite”: musique et histoires à partager. Mais, s’agissant du deuxième rendez-vous, les jeunes se sont demandés comme évoluer: “l’innovation de la pensée et des processus joue un rôle vital dans notre approche de ‘que tous soient un’ (Jn 17-21)”, explique Joops. “Nous avons donc installé un espace pour approfondir le thème de la conscience environnementale (Pagkabana Kalikupan). Nous essayons de répondre à l’appel du pape François dans Laudato Si’, qui nous rappelle le cri de Mère Nature, et contribuer ainsi à une écologie complète. C’est-à-dire une écologie qui, comme l’explique le pape, ne se concentre pas seulement sur la nature, laissant de côté l’humanité et ses besoins, mais qui inclut une écologie ‘humaine’. Nous voudrions donc, suivant ce raisonnement, transmettre aux autres jeunes l’importance de prendre soin les uns des autres (en participant aux activités sportives, culturelles, musicales et artistiques) et de l’environnement.” Maria Chiara De Lorenzo
Mai 12, 2016 | Focolare Worldwide
Le Festival pour la Paix a conclu en Équateur, la Semaine Monde Uni, expo d’actions fraternelles organisées par les jeunes du Mouvement des Focolari. Le récit de Francesco Ricciardi, de la délégation internationale qui a parcouru les routes du pays latino-américain, avec une expérience dans laquelle la vocation communautaire de l’Amérique du Sud a vivement été mise en évidence . « Des instruments traditionnels et modernes s’unissent pour donner vie à une fête. Sur le podium se succèdent des jeunes de l’Afrique, de l’Europe, des Amériques…Somme toute, aujourd’hui, le monde entier est présent à Quito !” Même dans la destruction des semaines précédentes – nous dit Juan Carlos – nous avons vu se mettre en place, une chaîne de générosité et de solidarité”. Sur le podium, beaucoup d’expériences concrètes de l’après- tremblement de terre se succèdent. Jesús par exemple, raconte ; « Quand nous avons vu les premières images, nous nous sommes rendus compte de la gravité des dégâts. Avec quelques amis, nous avons organisé une récolte de biens de première nécessité, en travaillant dès le matin jusqu’au fin fond de la nuit, pour l’amour de nos sœurs et frères. Natalia continue :”Nous nous sommes dirigés vers les lieux dévastés par le tremblement de terre, pour répondre à ce cri de douleur. Au début, ce n’était pas clair pour nous comment nous pouvions les aider. J’ai compris que je pouvais aimer en écoutant , afin d’accueillir la douleur de celui que je rencontrais ». David raconte : « J’ai vu des mains désintéressées qui n’hésitaient pas un seul instant à donner de la nourriture, de l’eau, des médicaments, de l’argent ; et des mains qui, même si elles n’avaient rien, se sont mises à disposition pour aider. J’ai assisté à un Équateur brisé par le désespoir, la peur, la faim et la soif ; mais j’ai aussi vu la joie sur des visages, la satisfaction et l’espérance de recevoir une aide désintéressée. J’ai travaillé côte à côte avec des personnes qui ont tout laissé derrière elles : le travail, les études, et les propres familles afin d’aider ceux qui avaient tout perdu. J’ai pu voir de près, la bonté des éducateurs équatoriens et autres ».
Des moments artistiques rendent la fête encore plus agréable et préparent à accueillir les nombreux témoignages. Melany raconte : « Quand j’ai commencé à chanter dans la chorale universitaire, j’ai compris que pour gagner une place dans le groupe, mes compagnons n’hésitaient pas à offenser et insulter. Un jour, j’ai décidé de partager les chansons que j’avais écrites. Ce fut le premier pas. Depuis lors, tout a changé. D’autres aussi ont commencé à partager tellement de talents cachés qu’ils pouvaient finalement exprimer sans crainte ! Le rapport entre tous s’est considérablement amélioré. Le 8 mai 2015, nous avons organisé un concert de musique latino américaine avec l’objectif de transmettre la valeur de la fraternité ». Giorgio et Lara, deux jeunes libanais, qui, malgré le fait d’être au milieu d’une des plus sanglantes guerres de l’histoire, trouvent la force d’aimer tout le monde : « La guerre en Syrie a causé plus de 6,5 millions de réfugiés, dans le pays même et 3 millions se sont enfuis vers les pays proches. Malgré tout cela, des centaines de manifestations se sont organisées dans tout le Moyen Orient pour recueillir des fonds et des biens de toutes sortes et témoigner ensemble, chrétiens et musulmans, que l’unité est possible. Concerts, fêtes, veillées de prières, ont transformé la peur en espérance, la haine en pardon, la vengeance en paix. Beaucoup de familles, ayant même peu de ressources économiques, ont accueilli des réfugiés irakiens. En Syrie, plusieurs nous ont dit que ” l’amour vainc tout, même quand cela paraît impossible” ». David et Catalina présentent les ”Écoles de paix”, initiative organisée en collaboration avec l’Istituto Universitario Sophia: « L’objectif est celui de créer des espaces de formation théorique et pratique pour approfondir les relations avec soi-même, avec les autres, avec la création, avec les objets et avec la transcendance. La fraternité universelle peut créer une politique au service de l’homme ; une économie basée sur la communion ; une écologie en équilibre : la Terre, maison de tous ». Une réalisation concrète du United World Project. Le festival de l’inculturation s’est conclu avec Samiy, jeune indigène de la communauté Kitu Kara : « Nous avons vécu une semaine au cours de laquelle nous avons expérimenté que c’est réellement possible de porter la fraternité, l’unité, la solidarité et la paix dans notre vie, dans notre milieu, et sur toute notre planète. L’humanité est vivante ; notre engagement est personnel mais nous ne pouvons y arriver que si nous nous sentons partie intégrante d’une communauté. Aujourd’hui, nous avons assisté à la beauté de la diversité et à la richesse des cultures ». La joie, désormais ne sait plus être contenue. C’est ainsi que pendant les chansons de la conclusion, tout le monde se retrouve en train de danser dans l’arène ! Jeunes et adultes, enfants et adolescents. Tous en train de faire la fête et jubiler. Mais il ne s’agit pas d’une joie éphémère, c’est la prise de conscience que nous sommes nombreux, tout un peuple, qui veut avoir l’Amour comme propre bannière. Et comme le disent Lidia et Walter « ce n’est pas une conclusion. C’est seulement un commencement ! ». Source : Città Nuova online
Mai 11, 2016 | Focolare Worldwide
“L’histoire d’une famille est sillonnée par toutes sortes de crises. C’est ce qu’écrit le pape François dans l’introduction à sa réflexion sur la crise du couple (AL 232 et suiv.), dont il décrit, avec beaucoup de réalisme, les diverses phases. Des pages qui semblent raconter mon histoire. La mienne, celle d’un enfant de cinq ans que la guerre rend orphelin de père et prive de perspectives d’avenir. La mienne, celle d’un jeune qui aime une fille et retrouve ainsi un souffle de vie nouvelle et une espérance de bonheur. La mienne, celle d’un homme déçu et se retrouvant seul. Mais c’est aussi l’histoire d’une communauté qui accueille et qui sauve. Une fois terminées mes études navales, je me retrouve sur les navires de la Marine Marchande. Lors d’un congé, je rencontre Mariarosa et c’est le grand amour : un sentiment si fort qu’il ne supporte pas l’éloignement. Pour elle je quitte la marine. Mon nouveau travail nous conduit à vivre loin de nos familles, de nos amis et de notre vie passée. Tout notre univers est circonscrit par le rêve qui nous enveloppe : elle, tout comme moi, attendons tout l’un de l’autre pour trouver le bonheur. Tout va pour le mieux jusqu’au moment où nos différences, jusque-là attirantes, commencent à nous énerver. Au point de nous apparaître inacceptables, au point de ne plus nous reconnaître et d’être convaincus de nous être trompé de personne. Nous devons alors admettre avec une amère désillusion que le rêve est fini. Et avec lui notre mariage. Nous nous quittons. Je me retrouve seul, dans une maison vide, en proie à la colère et au désespoir.
Après le mariage d’un collègue de travail, un des invités me propose de me raccompagner chez moi en voiture. Encouragé par son écoute attentive, je lui raconte ma situation. Il me propose son amitié mais moi, déçu par la vie et les gens, je lui dis ne plus croire en l’amitié. « Je te propose une amitié d’un genre nouveau – me réplique-t-il avec conviction -, de nous aimer « comme Jésus nous a aimés ». Ce « comme » fait brèche en moi. Je commence à fréquenter sa famille et ses amis du Focolare qui deviennent aussi les miens. C’est ce dont j’avais vraiment besoin : la proximité de personnes qui ne me jugent pas, ne me donnent pas de conseils, ne font pas étalage de leur propre bonheur. Ils savent au contraire comprendre l’angoisse de celui qui comme moi est à la dérive. Leur façon de vivre est comme un miroir où je revois tout mon passé, l’enchaînement des erreurs et des égoïsmes qui l’avaient abîmé. A leur exemple je me mets moi aussi à faire quelque chose de beau pour les autres.
Au bout de deux ans, contre toute attente, arrive une lettre de Mariarosa. Elle aussi, à travers des chemins complètement différents, a connu dans sa ville des personnes qui lui ont fait rencontrer le regard d’amour de Jésus. C’est en hésitant que nous nous rencontrons à nouveau et à ce moment-là nous ressentons que Dieu nous avait donné un cœur nouveau et la certitude que notre amour pouvait refleurir. Un amour dont la mesure n’était plus d’attendre, mais de donner. En vivant la miséricorde nous amorçons un cheminement qui va nous conduire à refonder notre famille, qui sera embellie de six enfants dont trois jumelles. Nous ne vivons plus isolés, mais nous partageons avec d’autres couples le fait de recommencer chaque jour. Nous faisons l’expérience que, tout en étant plongés dans les fatigues et les épreuves qui ne manquent jamais, nous pouvons construire notre couple avec un horizon de bonheur : une vie quotidienne faite de partage, de réciprocité, d’une profonde communion de nos sentiments, de nos résolutions, une vie toute donnée à nos enfants et à tous. C’est faire l’expérience que, dans la joie, comme l’écrit François, une crise surmontée conduit vraiment « à améliorer, à consolider et faire mûrir le vin de l’union ». Et que toute crise dépassée est une occasion pour « arriver à boire ensemble un vin meilleur » (AL 232) ».
Mai 9, 2016 | Focolare Worldwide
Programme du voyage (résumé) :
- 15 mai : fête d’accueil à la « Mariapoli Piero »
- 17-20 mai : participation à différents moments de l’Ecole pour l’Inculturation
- 21-22 mai : participation à la rencontre panafricaine des Familles Nouvelles
- 25 mai : salutation au conseil académique de la CUEA (Catholic University of Eastern Africa)
- 27 mai : intervention auprès de la Commission Œcuménique.
- 28-29 mai : rencontre avec la communauté du mouvement des Focolari au Kenya, et des représentants venus du Burundi, Rwanda, Uganda, Tanzanie – inauguration de l’église “Marie de la Lumière”