Grossesse et travail Quand j’ai annoncé que j’attendais un enfant, malgré les promesses qui m’avaient été faites, l’entreprise où je travaillais n’a plus voulu m’accorder de congé, ni d’indemnités ni de garanties pour l’avenir. J’ai donc dû donner ma démission. C’est alors qu’un ami m’a offert un poste dans son cabinet professionnel. L’embauche aurait été fictive ; je n’aurais pas pu travailler, mais mes droits auraient été reconnus. J’étais déjà en train de préparer mon dossier, quand ma conscience s’est révoltée ; en sortant de la légalité, j’organisais un vol à l’encontre de l’État, alors que je voulais être une mère honnête pour l’enfant que j’attendais. J’ai donc refusé l’offre, quitte à devoir affronter l’avis contraire des membres de ma famille. Pourtant, quelques jours plus tard, eux aussi ont été stupéfaits par la façon dont Dieu a répondu par sa providence : une nouvelle formation professionnelle pour mon mari, un lit, un landau et une layette pour mon bébé, et pour moi, un nouvel emploi.
M. L. – Sicile
La planche à repasser Il y a peu de temps, mon fils est parti vivre seul. Il vient souvent me voir et, un jour, en me voyant repasser, il me dit : « Tu sais quoi ? Je n’ai pas de planche à repasser. » Je n’ai pas réfléchi bien longtemps : je lui ai offert la mienne. Il est parti tout content, mais c’était moi la plus heureuse, parce que je sentais que je lui avais donné quelque chose qui lui était vraiment utile. Deux jours plus tard, une amie m’a demandé : « Aurais-tu besoin d’une planche à repasser ? J’en ai une dans ma cave, dont je ne me sers plus. » J’en suis restée abasourdie : elle était plus commode que celle que j’avais donnée.
R. B. – Suisse
Le copain d’école Un jour, mon copain d’école s’est mis à jeter en l’air ses livres et ses cahiers, en blasphémant contre Dieu : « Pourquoi tu n’es pas là quand j’ai besoin de toi ? Qu’est-ce que tu fais là-haut ? » Je ne comprenais pas pourquoi il faisait cela, jusqu’au jour où j’ai appris que sa maman devait être opérée d’un cancer. Je me suis rapprochée de lui, et j’ai partagé avec lui cette grande douleur ; à la fin, ensemble nous avons demandé à Jésus que l’intervention se passe bien. Même mes autres amies ont prié avec nous. L’ambiance de la classe était comme transformée ; cet épisode nous avait rendus plus unis. L’opération a réussi, et nous avons tous remercié Dieu.
J.S. – Allemagne
Travail de traductions J’avais besoin d’argent et j’avais réussi à trouver un travail : faire des traductions. Un jour, une de mes amies m’a confié qu’elle traversait un moment difficile sur le plan financier. Je lui ai alors proposé de prendre une partie du travail que je faisais. Le jour même, j’ai reçu une offre qui me pertmettait de gagner le double de ce que j’avais partagé avec mon amie.
E. M. – Açores
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